Beaucoup de chemin parcouru depuis 11 ans (voir les onglets ci-dessus : Branche, et secteur du droit; Labels; et Contributions institutionnelles), à votre service, et pour favoriser l'insertion des juristes au sein de la Cité, dont la très grande majorité aujourd'hui est encore contrainte en fait au salariat en France (sans aucune raison objective, et dans un pays qui compte plus de 5 millions de demandeurs d'emploi salarié) pour pratiquer le droit.
Notre fondatrice est parvenue à obtenir des baisses significatives de cotisations (par transfert sur une autre assiette) y compris sur les niveaux de salaires correspondants (jusqu'à 20 milliards de baisse annuelle, jusqu'à 2,6 SMIC), et dans une mesure plus timide mais tout de même réelle, jusqu'à 3,5 SMIC, sur une période de lobbying réussi donc, entre 2008 (sa première demande auprès des responsables publics, quand les baisses de cotisations étaient réservées aux salaires inférieurs à 1,6 SMIC) et 2017.
La dynamique a été ainsi engagée et nous nous en félicitons, même si c'est imparfait ; le modèle pensé par notre fondatrice, juriste fiscaliste de formation, avait lui moins d'effets pervers, et aurait eu un effet plus immédiat et plus massif ; mais ce fut tout de même un minimum très positif, à une période (2008-2016) où la conjoncture économique rendait absolument nécessaire que soit pris ce type de décision (création nette d'emploi en chute puis à zéro pendant plusieurs années, puis création nette dérisoire ensuite ; ce qui a pu être enrayé grâce à l'enclenchement de la dynamique avec le CICE - 2013/2014 voir médiation PME dans l'onglet contributions institutionnelles en en-tête -, même imparfaitement par sa nature, trop tardivement par des tergiversations - quasi 2 ans après l'abrogation du package fiscal voté en janvier 2012, déjà tardif -, et avec un délai d'effet réel hélas retardé en tout ainsi de près de 4 voire 5 ans, de ce fait).
Ceci étant rappelé, selon les annonces faites ensuite par les responsables publics entre les années 2017 et 2018 (incluse), près de 40 milliards de baisses des prélèvements fiscaux et des cotisations sociales étaient envisagés ; des baisses fiscales ont en effet été décidées, le CICE a été supprimé et transformé en baisse directe, dont le montant global reste à comparer aux annonces ; la baisse directe des cotisations réorganisée: s'agissant des salaires de la branche ici, ils sont concernés jusqu'à 2,5 SMIC notamment par la diminution de 6 points de la cotisation de l'assurance maladie depuis le 1er janvier 2019 ; pour le reste, ils ne sont concernés que très marginalement (autre baisse atteignant +4,05 points des allègements généraux au niveau du SMIC, en vigueur au 1er octobre 2019).
A suivre, l'impact sur l'emploi, et l'effet sur le niveau des salaires dont notre fondatrice n'a cessé d'alerter depuis 2008 voire avant, sur la baisse constatée concernant les diplômés, hélas confrontés dès le milieu des années 2000 au déclassement - ce qu'elle avait observé (notamment du fait des baisses de cotisations réservées à des postes pas ou peu qualifiés, pendant environ 10 ans à ce moment là), la tendance était déjà visible à l'époque du constat.
Lobbying bénévole jusqu'en 2017 réussi donc, et qui a permis d'engager une dynamique positive au service de la branche et au-delà, même s'il reste beaucoup à faire pour en améliorer l'efficacité. Et, nous devons continuer à trouver des solutions adaptées au monde dans lequel nous vivons, pour assurer à chacun sa juste place, et son droit fondamental au travail.
A très bientôt pour prolonger nos actions au bénéfice des générations actuelles et futures, dans un monde globalisé et d'innovation !
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